Après 10 mois de prison, Loïc ne perd ni son sens de l’humour (acerbe, parfois) ni son envie de dessiner. Il aurait déjà plusieurs dizaines de pages de ces bandes dessinées entamées après son arrestation et dans lesquelles il a pris l’habitude de se représenter « en M. Patate » dont la touffe de cheveux frisés augmentent à mesure que s’entêtent les autorités allemandes à la garder derrière les barreaux.
Liberté pour Loïc ! Liberté pour toutes les personnes emprisonnées !